Voici un échantillon de témoignages, parmi bien d’autres, d’anciens étudiants …
- Valentin
Mes deux années d’étude en CPGE à Bertran de Born m’ont permis de développer des techniques de rédaction efficaces et une méthode d’analyse et de réflexion que je n’aurais pas pu trouver ailleurs. Ce bagage théorique et pratique m’a permis de rentrer à l’Institut d’Etudes Politique de Bordeaux, directement en 3e année. Je suis actuellement dans la première année d’un master centré sur l’urbanisme, les grands enjeux territoriaux et je compte me spécialiser pour la deuxième année de master sur les politiques à l’œuvre dans les métropoles françaises, plus particulièrement dans la métropole bordelaise. À la fin du master, j’envisage de travailler pour une agence d’urbanisme ou pour une collectivité à l’échelle nationale ou européenne.
- Matthieu
Mon passage dans la classe préparatoire littéraire de Bertran de Born a été un tournant décisif pour moi. À la sortie du lycée je n’étais pas fixé sur mes projets professionnels, la prépa m’a permis justement de réfléchir à mes projets durant deux ans, tout en me permettant d’acquérir une méthode, une rigueur et une culture générale très utiles dans la poursuite de mes études. Grâce à cette solide formation, j’envisage de passer les concours de l’enseignement, d’abord le capes puis l’agrégation et enfin de faire une thèse. Tout cela n’aurait pas été possible, pour ma part, si je n’étais pas passé par la classe préparatoire.
- Lucie
J’ai effectué ma troisième année de licence en Gestion et Aménagement des Collectivités Territoriales à Paris IV. A l’heure qu’il est, je viens de finir mon Master 1 professionnel en Aménagement et Urbanisme à la Sorbonne, et me prépare pour partir en stage à Budapest pendant trois mois. Je prépare également mon départ à Madrid pour y suivre mon premier semestre de M2 dans le même cursus.
- Laura
Après la prépa j’ai fait une 3e année de lettres modernes à l’université de Limoges. J’ai décroché ma licence avec mention Bien ! Et puis j’ai eu le C2i aussi (le certificat informatique obligatoire pour les masters éducation et les formations pro). Pour l’année prochaine, j’ai postulé pour le nouveau diplome qui s’est ouvert à Limoges (ancien DEUST métiers de la culture, qui s’est divisé en 3 licence pro : webdesigner, ingénierie culturelle et métiers des bibliothèques et de la documentation). Mais je suis prise en Master pro Compétences documentaires avancées à Poitiers : ma candidature a été acceptée sur la liste principale, ce qui veut dire qu’elle a été reçue sur dossier.
- Annabelle
J’ai validé l’an dernier une licence en histoire à l’Université de Toulouse II le Mirail. Puis, j’ai été acceptée en Master européen en Sciences de l’Antiquité (http://www.eu-classical-cultures.eu/) qui achève sa première année d’existence. Je travaille d’ailleurs pour deux ans sur un sujet entre archéologie et histoire : “le culte domestique dans la région égyptienne du Fayoum sous les Lagides (323 a.C. - 31 a.C.)”. Dans le cadre de ce master, je fais effectuer cette été un stage de fouilles en Russie sur un site de colonisation grecque. L’an prochain, je passerai mon année universitaire à Münster en Allemagne.
- Anaïs
Pour ma part je suis en première année à l’Ecole du Louvre et j’espère passer en deuxième année. Merci encore à tous les professeurs pour la formation qui nous est offerte en Hypokhâgne, sans laquelle je n’aurais probablement pas eu le concours d’entrée à l’Ecole. La méthodologie enseignée et la quantité de travail demandée en Hypokhâgne m’aident à mieux faire face aux exigences de l’Ecole (les élèves admis lors de la première session d’examens de première année à l’Ecole du Louvre sortent en grande majorité de classes préparatoires).
- Eugénie
Pour ma part j’ai intégré l’école de commerce de Bordeaux (BEM) en admission parallèle en Master 1 après une licence d’Histoire… tout est possible!! Il me semble important de bien renseigner les élèves sur les différentes voies possibles car l’arrivée à la fac est un peu déroutante.
- Sarah
Après une hypokhâgne-khâgne à Périgueux, je suis revenue à Toulouse pour faire une licence en 3e année d’anglais (LLCE) à l’Université du Mirail II. Je suis actuellement en M1 d’anglais à la même université en train de finir mon mémoire. Pour la rentrée, je pars 1 an en Angleterre pour être assistante de français dans un collège/lycée situé dans la très jolie ville d’Ascot. J’aimerais passer l’agrégation d’anglais par la suite…
- Harriet
Après la prépa, j’ai rejoint l’Université Bordeaux 3 pour faire ma Licence 3 LLCE Anglais avec une option de traduction. Puis j’ai fait un Master 1 Recherches Pays Anglophones que je viens de valider. J’avais prévu de me diriger vers le professorat mais j’ai changé d’avis et je ne souhaite pas faire un Master 2 Recherches Pays Anglophones. J’ai été sélectionnée pour passer un oral la semaine prochaine à la suite d’épreuves écrites à l’Université de Nanterre Paris X La Défense pour tenter d’intégrer leur Master 2 professionnel de Traduction juridique et économique.
- Chloé
Depuis la prépa, j’ai fait mon petit bout de chemin. Ce n’est pas peu dire car depuis un an je vis au Canada. Je suis partie cette année (M1) en profil international grâce à une convention de l’université de Bordeaux III, à l’université Laval de Québec. En partant, j’avais en tête de me spécialiser sur la littérature francophone et plus particulièrement québécoise. Mais je travaille finalement pour mon mémoire sur un auteur congolais. Parallèlement, je suis très investie au niveau universitaire. Le système nord-américain donne très vite des responsabilités aux étudiants. J’ai ainsi eu l’occasion cette année d’être assistante de cours, de tenir des permanences de soutien scolaire organisé par le département des littératures, de participer à des colloques étudiants… Je suis ravie, c’est une expérience très riche et la recherche me passionne. Je repars donc à la fin de l’été à Québec et je vais sûrement y rester un bon moment, puisque je prévois d’y faire un doctorat.