Les sixièmes 3 fabulistes.
Le singe et l’éléphant
Il était une fois un singe et un éléphant dans la savane.Le singe était très méchant.Alors que l’éléphant marchait doucement,Le singe lui dit « pars, tu fais tomber mes bananes ! »L’éléphant partit en pleurant,Car il était sensible et charmant.Mais un jour, le singe se fit encerclerPar des lions affamés.Le singe poussa des cris,L’éléphant l’entendit et lui dit :« J’arrive pour te sauver ! »Il parvint à le libérer.Les lions eurent peur de lui.Quand ils furent partis,Le singe et l’éléphant devinrent bons amis.On a toujours besoin d’un plus grand que soiCe n’est pas le singe qui l’oubliera !Lucas V
Le cheval et le chatUn jour un chat gambadaitA l’orée de la forêt ;Pendant ce temps un cheval broutaitDe l’herbe dans un pré.Le cheval rencontra le chatEt lui dit : « quel animal ridicule !Avec tes pattes minuscules,Tu fais de si petits pas !Alors que moi je suis fougueuxEt très courageux. »Et chacun partit de son côtéL’un dans un pré,Et l’autre dans la forêt.Au milieu de l’après midi,Le chat entendit le cheval qui hennissait.Le chat courut ; il vit le cheval attaché.Celui-ci lui demanda de l’aider à s’enfuir.Le cheval demanda : « et comment tu vas faire ?– Avec mes griffes, fit le chat, qui coupent comme du fer ! »D’un coup de griffe, le chat libère le cheval soulagéQui le remercia et repartit dans le pré.On a souvent besoin d’un plus petit que soiCe n’est pas le cheval qui l’oubliera.Julie G.
Le loup, le singe et le chienUn magnifique soir d’été,Un singe et un loup se sont rencontrés.Le loup se croyait rapide,Le singe était loin d’être stupide …Le loup, trop vantard, le critiqua vivement :« Moi, je fonce comme l’éclair,Alors que toi, tu te traînes lamentablement ..– Oui, mais moi je ne suis pas tête-en-l’air,Alors que toi, fit le singe, tu l’es complètement.– Je te lance le défi de faire une course contre moi.– J’accepte, mais souviens-toi que je suis plus malin que toi. »Le loup laissa partir le singe avant luiCe dernier en profita pour prévenir le chien, son fidèle ami.Monsieur le loup partit, étant sûr de gagner.Mais le chien l’arrêta, et lui donna à manger.Le singe eut le temps d’arriver.Il fut donc le premier.Il ne faut jamais se croire le plus fort,Car vous avez certainement tort.Mélodie M.
Le chien et le renardUn jour de pluie,Sire Rodrigue Martinez,Un renard bien aise,Fut emprisonné pour vols suivis.C’était un renardQui était vantard.Il portait une vesteDe couleur célesteEt un poil soyeuxQuelque peu joyeux.Un berger allemand,Pas des plus élégants,S’approcha à grands pas :« Que venez vous faire là ?– Je suis le gardien des clefs, répliqua le berger,Et si vous les voulez, il faudra les chercher.– J’ai des os, plein d’os ! intervint Martinez– Des os ? j’en suis fort aise...– Ils sont à vous si vous me donnez les clefs !– Hé bien, allez ! »Là dessus, il s’en alla sans donner le moindre osA cet infâme molosse.Il ne faut jamais faire confiance aux plus fortsC’est trop souvent l’accorder à tort !Jade A.
Le lion et le ratIl était une fois un lionQui était souvent grognon.Le rat était rapide mais maigrichon.Le lion se moqua du rat,Méchamment il le critiqua.Le rat était très vexéCar en taille il ne pouvait pas rivaliser.Le lion se fit capturer par les chasseursIls le mirent dans une cage par malheur.Le lion poussa des cris.Le rat entendit sa voix et hésitaMais finalement il fut d’avisD’aller l’aider : il le délivra.Ils devinrent amis.Le lion s’excusa platementIl comprit que les plus petitsSont aussi utiles que les grands.Anthony B.
Le lion et le renardUn jour le roi des animaux rencontra un renard.Celui-ci proposa de chasser pour le lion.Le lion, qui était fort vantard,Pour son plus grand malheur déclina la propositionCar dans cette forêt boisée,Nombreux étaient ceux qui chassaient.Le renard s’en alla sans regrets.Le lion hésita mais partit en quête de gibier.Il ne trouva rien à manger :Le renard avait tout dévoré.Le renard avait tant d’idées pour chasser !Au bout de trois mois il avait beaucoup de gibier !Il devint riche pendant que le lion mourait.Le lion se croyant fortTomba raide mort.Quant au renard,Il ne devint pas vantard.Ne jamais se croire trop fortCar après ce qui t’attend c’est la mort.Raphaël D.
Le lion et le crabeUn lion majestueux marchait au clair de lune ;Un crabe se promenait dans la lagune,Sans regarder où il allait.Il bouscula le lion qui rêvait.Le lion n’apprécia guère,Il haussa la voix et dit d’un ton sévère :« Qui ose me bousculer,Moi le roi de l’été ?Je ne vous connais pas !– Sachez, Monsieur le lion, que je ne marche pas droit.– Nom de nom ! » protesta le lion exaspéré.Le crabe lui, voulut s’en aller.Le lion irrité lui lança un défi,Le crabe dit oui.Le lion trop sûr de lui, proposa :« Nous courrons jusque là ! »Le crabe répondit, lui qui était rusé :« D’accord, dans l’eau et sur terre cela vous correspond, majesté. »Le lion accepta mais avec tracas : il ne savait pas nager.Le lendemain matin le lion était stressé,Le crabe, lui, tout détendu, le cœur léger.La course commençaMais le lion ne savait pasQue le crabe était aussi agile dans l’eauQue sur terre : le lion était sot !Lorsque vint l’épreuve des flotsLe crabe fut comme un poisson dans l’eauLe lion peinait tant qu’il éclata en sanglotsComme quoi il ne faut pas négliger les plus petits que soiCe n’est pas parce qu’on est grand qu’on gagne à chaque foisLise V.
Le renard et le lion.Dans l’aride savane, à la saison des pluies,La végétation devient humide.Et les gazelles boivent dans le fleuve au courant rapide.Le noir silence régnait, toutes les nuits.Alors un vieux lion lança un défi à un jeune renard :« Celui qui attrapera le premier dix gazelles aura gagné,Lui dit il, de toute façon je serai le premier.– Je suis d’accord, lui répondit le renard.Mais je ne serai peut être pas en retard. »Le renard se mit à l’ouvrage.Le lion ne se pressa pas du tout.Il fit une sieste, puis lécha son pelage.Le renard, lui, chassait partout.Alors le lion se réveilla,A ce moment le renard sauta.Il attrapa sa neuvième gazelle.Le lion eut beau se presser, il n’attrapa que cinq gazelles ;Alors que le renard en avait dix de qualité exceptionnelle !Attention il ne s’agit pas d’être rapide et fort,Il faut aussi faire des efforts.Baptiste M.
L’agneau et la chèvrePourquoi ne pas se contenter de ce qu’on a ?On va le montrer dans cette histoire-là.Un agneau broutait,Une chèvre l’imitait.L’agneau dit : « C’est quoi ce goût ?On dirait de la boue.– Arrête de te plaindre de ce qu’on mange,Même si le goût de cette herbe est étrange. »L’agneau continua à brouter,Pendant tout l’hiver où il faisait frais.Il en avait assez de manger,Il s’énervait.L’agneau partit dans un autre champ,Où le trèfle était dégoûtant.« Pourquoi je ne suis pas resté ? »L’agneau ne cessait de le répéter,Et par l’herbe empoisonné, il mourut en paix.La chèvre était restée, installée,Tranquillement dans le pré,Où elle s’amusait.Dans le blé.Paul L.
La baleine et le requinDans les eaux de l’AntarctiqueVivait une baleine fantastique.Un jour, elle rencontra dans l’épave d’un bateauUn requin-marteau.Le requin l’admiraEt lui demanda :« Pourquoi tu es si grande et pas moi ?– Car je suis née comme ça et pas toi. »La baleine et le requin se promenaient.La baleine se coinça dans une épave cabossée.Elle demanda au requin musclé :« Peux-tu m’aider à me décoincer ? Je suis blessée ! »Le requin voulut la sauver et la baleine lui dit :« Tu es un requin-marteau,S’il te plaît, je ne veux pas être coincée à vie ! »Le requin donna un coup de museauEt fracassa l’épave du bateau.Il ne faut pas se sentir petitQuand on peut servir en tant qu’ami.Maxime M.Le héron et la grenouilleUn héron grand et majestueuxSe trouvait dans un étang très lumineuxIl attrapa une grenouille d’une couleur vert jauniLe héron rit de cette couleur qui lui paraissait moisie.« Vous n’êtes point jolie, fit le héron avec un rire d’oie »La grenouille ne le prit pas avec joie.La dame dit pleine de rage :« Et vous, votre plumage et aussi laid que l’orage ! »Le héron sur les nerfsRépondit : « petite insolente, je vais te bannirEt je t’empêcherai de nuire ! »Le héron la mangeaEt se remit à pêcher des harengs bien gras.Ne jamais riposter contre les plus forts que soi,Car cela pourrait te causer du tracas.Loris J.Le lion et le singeUn lion dormit tout l’été,Alors qu’un singe ramassait des provisions.Tous les jours il y travaillait,Il amassa à profusion.Lorsque l’hiver arriva,Le gibier se cacha.Le lion n’avait point à manger.Il demanda à son voisin le singe rassasié :« Pitié, donnez moi de quoi subsister ! »– Je ne suis pas prêteur, dit le singe agacé.Mais que faisiez-vous en été ?– je dormais, ne vous déplaise.– et bien maintenant, bâillez !Car je ne vous donnerai rien même si vous faites un malaise ! »Attention à faire des réserves en quantitéSous peine de se retrouver sans rien à manger !Kévin M.
Le chien et le chasseurDans une cabane vivait un chasseur.Il était laid et gros.Il avait un chien gentil et joueur.Le chasseur ne lui disait que des gros mots.Le chien aboya pour avoir à manger.Mais le chasseur lui donna un coup de pied.Le chien s’enfuit dans les boisLe chasseur se dit : « pourquoi j’ai fait ça ? ».Il le chercha partout dans les boisUn jour le chasseur le retrouva caché non loin de là.Il le ramena chez luiEt lui donna une tranche de sanglier bien cuit.Il faut être gentil avec les animaux :Même s’ils ne savent pas dire un mot,A l’intérieur, ils sont beaux.Axel R.
Le loup et le ratDans un bois plutôt petitVivait un loup sans merciLe loup venait de finir son repasQuand il vit venir un rat.« Déguerpis, ou je t’avale tout cru,Tu m’auras bien entendu. »Plus tard, le loup se fit capturer.Il se débattit, mais après plusieurs essaisLa bête cria « Au secours, à moi ! »Puis le petit mulot libéra le loup dans l’embarras.Le loup remercia celui qui l’avait sauvéMais ne résista pas à la tentation de l’avaler.Il ne faut pas ignorerLes paroles aviséesDe celui qui nous a chassé,Sous peine de se faire manger.Clément P.
L’antilope moqueuseA côté d’un beau pré,Une antilope s’abreuvaitDe l’eau du marais ;Tandis qu’un petit rat ruséDans l’eau douce nageait.Elle s’approcha de lui et dit :« Bonjour mon cher ami !Vous êtes si ridicule,Avec vos oreilles minuscules ! »Le rat surpris d’une telle méchancetéResta pourtant gai.Mais l’antilope continua :« Vous avez l’air d’un vilain rat. »Le rat très gentil dit :« Pourquoi me parlez-vous ainsi ?Vous êtes pourtant très jolie ! »Mais l’antilope repartit :« On dirait que vous n’avez qu’un seul œil,Personne ne vous fera bon accueil !– Chère antilope,Ressemblerais-je à un cyclope ?Derrière vos insultes vous vous cachez,Car vous avez trop peur de vous juger ».Il ne faut jamais juger les gens d’après leur physique,Car ils peuvent avoir des qualités fantastiquesMême si ils ne sont guère plus gros qu’un moustique !Salomé L.
Le Lion et le SingeUn singe très malin et bavardVivait à la montagne de brouillard.Un lion très riche et qui était roiVivait lui, à la lisière du bois.Tous deux possédaient différentes qualités :Le lion était très fort, vraiment,Et le singe lui était rusé,Mais pas fort malheureusement.Le singe un jour partit à la recherche de bananesTandis que le Lion courait dans la savane.Le lion était en train de se faire chasser,Mais le singe voulut l’aider.Quand les chasseurs l’eurent pris,Le singe les suivit.Il les regarda fermer la cage à clé,Puis à leur départ il délivra le lion apeuré.Le lion fut libéréPar le singe tout gêné.Il ne faut pas envier les autresCar ils ont eux aussiDes défauts, des soucisAu contraire il faut apprécier pleinement sa vie…Léanne M.L’hippopotame et le merleDans la forêt amazonienne un hippopotame vivait,Il était grand, gros, et laid.Un petit merle magnifique et rusé voletait.L’hippopotame sentit quelque chose sur son pied,« Qu’est-ce qui te prend, impoli ?Dit-il à l’oiseau tout déconfit.Des bruits retentirent.Les braconniers surgirent.L’hippopotame essaya de s’enfuirMais il trébuchaPuis il tomba.Les braconniers l’attrapèrent.Le merle était malheureux pour son compère.L’oiseau revint pour sauver son ami,Même s’il n’avait pas été gentil avec lui.Il le retrouva pas loin du campOù il était prisonnier dans un fourgon imposant.Le Merle trouva la clé. Il lui ouvritPuis chacun repartit.Et ils devinrent amis pour la vie.Il ne faut pas se fier aux apparences,Il faut donner à chacun sa chance.Clément C.
Le lion et le singeUn jour, un lion très riche rencontra un singe malin.« Et bonjour, monsieur le singe, c’est un beau matin ! »Le lion continua et lui demanda :« Vous venez de Brasilia ?– Non, pourquoi ?Je viens de Manitoba.– C’est où ça ?– Dans le sud du Canada. »Au fil du temps, le lion et le singe devinrent très bons amis.Un jour, le lion invita le singe chez lui.Le singe très envieux voulut tout ce qui était dans la maison.Il demanda au lion comment il avait eu cette fortuneLe lion lui répondit qu’un soir au clair de lune,Il avait cambriolé plusieurs habitations.Le singe demanda si c’était la bonne solution.Le soir venu, le singe mit l’idée du lion à exécution.Il entra dans une maison,Le propriétaire se réveilla et mit ses chaussons.Une fois descendu il vit le salon vide.Le singe était encore dans la maison.Le propriétaire appela la police, livide.Ils arrivèrent, virent le singe en train de siroter une boisson.Ils relâchèrent le singe car il était très mignonEt celui-ci ne vit plus jamais le lion.Il ne faut pas croire aveuglément ce que les gens disent,Car cela peut nous conduire à faire des bêtises.Hélène C.
Le lion et le singeLe lion se croyait le plus fort.En plus il était riche, il avait plein d’or !Le singe, lui, était malin et bavardEt aussi il était fêtard.Un jour, le singe dit au lion :« Qu’est-ce que tu fais ?– J’admire cette belle région,Et après je vais chasser. »Le lion partit et d’un coup, il tomba dans un trou.Le singe entendait les cris du lion de partout,Et le vit coincé dans un grand trou profond,Il essaya de trouver une solution.Le lion se mit à le supplier :« Désolé, désolé, je veux bien devenir ton ami à l’avenir »Le singe chercha sans succès une échelle pour l’aiderIl alla chercher des branches pour la construire.Ils repartirent comme des copains,Ils allèrent chez le lion manger un festinEt le lion partagea son or avec son ami,Et le singe dit au lion : « Merci ! »Il ne faut pas négliger les plus faibles que soiCar on peut s’en mordre les doigts !Lucas C.
Le renard et l’âneA l’oréeD’une magnifique forêtUn renard ayant faimAperçut un âne, qui n’avait pas l’air malin.Le fauve prit un air gentilEt s’approcha de luiPuis le questionna :« Qu’y a t-il, es-tu perdu mon ami ?- Oui hélas, je ne trouve plus la sortie.- Ne t’en fais pas, je connais le chemin. »L’âne hésita mais le suivit sans se douter de rien.L’âne lui fit confianceCar dans son regard il n’y avait point de violence.Le fauve jusque dans sa tanière l’emmenaEt sans aucune pitié le dévora.Il ne faut jamais se fier aux apparencesCar elles sont trompeuses plus que l’on pense.Marie Amélie R. G.
Le chien et le lionUn jour un chasseur et son chien allèrent chasserAu bord de la forêt.A un moment donné,Le chasseur rencontra un lion sauvageQui avait l’air assez sage.Le chien fut très impressionnéCar le roi des animaux était d’une grande beauté.Le chien se dit qu’il aimeraitAvoir sa taille imposante et sa majesté.Le chien était tellement jaloux du bonheur du lionQu’il l’approcha sans aucune précaution.Le roi des animaux qui était affaméSans remords n’en fit qu’une bouchée.Au lieu de regarder l’ennemi et de l’envierIl vaut bien mieux s’en protégerSous peine de finir dévoré !!!Emeline L.Le taureau et le rouge-gorgeUn taureau et un rouge-gorge discutaientChaque jour au bord du lac salé,Le taureau se moquait du petit oiseauQui n’avait que les plumes sur les os !L’oisillon revint le lendemain assez tôt,Il n’y avait plus de taureau !Il chercha dans toute la savane, pour le trouverDans une camionnette de braconnier.Il était bien décidé à le délivrerMais la clef était cachée dans un grand coffre-fort.L’oiseau tout petit put y rentrer sans effortL’oisillon ouvrit le coffre et délivra le taureau.Il ne faut pas se moquer des petitsCar ils peuvent apporter leur aide eux aussi.Olivier V.
Kaku et LuchiKaku un singe tout petitRencontra un gros gorille nommé Luchi.Luchi ne pouvait s’empêcherDe se vanter de sa force inégalée :« Moi je suis le plus fort,Je déracine cet arbre au moindre effort,Alors que toi, il te faudrait des annéesPour à peine l’égratigner. »Mais un jour la forêt s’enflamma,Kaku s’enfuit à grands pasMais Luchi lui,Perdit la vie.La force ne fait pas tout,La rapidité est aussi un atout.Mathieu C.
Le renard et le lapinUn jour un lapin mangeait une carotte tranquillement,Quand un renard arriva doucement,Il était très flatteurMais le lapin avait très peur.Le renard commença à lui dire qu’il avait un beau pelage.Le lapin lui répondit qu’avec l’âge il devenait vieux.La rage du renard commença à venir, mais il resta sageLe lapin pensa gagner la confiance du renard et fut moins nerveux.Le renard en avait assez, il voulait le manger.Alors il demanda s’ils pouvaient boire un café.Le lapin accepta avec plaisir.Ne sachant pas que le renard n’avait qu’un seul désir,Le manger tout simplementCar il ne pouvait attendre plus longtemps.Ils allèrent auprès d’un pinA côté du terrier du lapin.Une table bien chargéeLes attendait avec du lait bien frais.Mais cela ne suffisait pas au renard affamé.Alors le renard posa son café,Et se jeta sur le lapin pour le manger !Il faut être à la hauteur,Pour résister aux flatteurs.Flavie A.
Le rat et l’âneLe rat était en train de sautiller.Et là il se posa sur l’âne qui mangeait.L’âne s’écria : « Hé tu es mal poli »Le rat fit : « d’accord, je peux me pousser, oui ! »Un jour l’âne alla se promener,Ici dans le pays,Et il se fit prendre par des voleurs.Ils l’avaient endormi sur l’heure.Ils l’enfermèrent dans un cachot.Le rat alla se balader car il faisait beau.Et il entendit : « au secours, par pitié ! »Il reconnut la voix de l’âne effrayé.Alors le rat alla chercher la clé.Il délivra l’âne avec facilitéEt ils repartirent dans leur pré.Ce fut le début d’une longue amitié.Il ne faut pas négliger les plus petitsIls peuvent parfois nous aider eux aussi.Sybile L.
Le pingouin et le phoqueUn pingouin chaussa ses patins,Il glissa sur une pomme de pin,Et percuta un sapin.A ce moment-là un phoque passa,Le regarda et l’emmena dans son habitat,Il le protégea et le sauva,Bien au chaud avec un bon bouillon,Rétabli, le pingouin se remit à faire le fanfaron ;Il remercia son nouveau compagnon,Quelques jours plus tard,C’est vraiment rare,Ils deviennent amisPour toute la vie.Damien L.Les lutins démoniaques de PalombieDans la Palombie,Vivait un Marsupilami.Le Marsupilami croisa un gorille gris.Le gorille lui dit « Eh, toi, petit !Tu es sur mon chemin, déguerpis ! »Le marsupilami s’enfuit, attristé.Il entendit alors du bruit dans la forêt.Il revint sur ses pas doucement.Et vit que des lutins avaient capturéLe gorille tout tremblant.Le Marsupilami, qui était de nature gentille,Arriva pour sauver le gorilleTous deux s’enfuirent en courant.Les lutins entendirent un bruitEt revinrent rapidement,Mais ils arrivèrent trop tard :Le gorille était parti sans un regard !Il ne faut pas se moquer des plus petitsCar ils peuvent être très utiles eux aussi.Jarod D.Le zèbre et le tigreDans la forêt vivait un tigre charmantQui connaissait un zèbre blanc.Le lendemain le zèbre arrivaEt ils discutèrent du projet que voilà :Le zèbre avait eu une idée fantastique,Il demanda au tigre de l’accompagner en Afrique.Le tigre lui dit : « je ne sais pas… »Le zèbre le supplia.Le tigre lui dit : « d’accord,On m’a dit qu’il y avait un trésor.– Formidable, j’ai toujours rêvé d’avoir de l’or,Répondit le zèbre, magnifique ! »Deux heures plus tard, ils arrivent en Afrique.Ils ne trouvèrent ni or ni argent.A deux pas de là, ils aperçurent des gensEt ils repartirent pour se faire des amis.Tout à coup ils virent des ouistitis.Ensemble ils jouèrent, mangèrent...Et plus jamais ils ne se quittèrent.Ce qui est important,Ce n’est pas l’argentMais plutôt se faire des amisEt passer des bonnes nuits.Morgan R.
Recueil de fables
28 fables écrites par les sixièmes 3
mercredi 6 février 2013
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